Panpan cucul.

En cinq ans de bloguerie, dont bientôt trois  sur canalblog, c'est la deuxième fois que je mets en ligne des paroles de chanson... Je n'aime pas ! Je trouve qu'il est bien trop facile de "piocher" sur le web, par paresse, ou parce qu' on n'a rien à dire,  ce qui appartient à des auteurs. 
Pourtant ce soir, je ne pouvais pas laisser passer ce texte du génie S. Gainsbourg. Ca m'a beaucoup amusée.

Quand je m'trimballe
Une p'tit' poupée dans ma tape-cul
C'est comme si je lui faisais
Panpan cucul

Tandis que mon tas de ferraille
Fait teuf teuf teuf
Elle, elle arrêt' pas de faire aïe
Houla ouille

Quand je m'trimballe
Une p'tit' poupée dans ma tape-cul
C'est comme si je lui faisais
Panpan cucul

S'échappant de son p'tit valseur
Comm' d'une bande dessinée
Les étoiles de la douleur
Se mettent à scintiller

Quand je m'trimballe
Une p'tit' poupée dans ma tape-cul
C'est comme si je lui faisais
Panpan cucul

La voici bientôt en chaleur
Sur des charbons
Ardents, moi j'donn' des coups d'avertisseur
Qui font...

Comments

[Jean]

Vous êtes bien sûr la maîtresse de ces lieux et vous avez parfaitement le droit de faire fuir les importuns, mais vous ne pouvez pas m’empêcher de siffler la chanson de Trenet (dont tout le monde connais l’auteur) à la vue de cette demoiselle en difficulté devant la porte du garage (idée que Lacan pourrait partager en envisageant la possibilité d’un charmant copier-coller).
Et je tacherais désormais d’ être plus discret lorsqu’il m’arrivera de faire un détour par ce site que je ne peux m’empêcher d’apprécier.

[Dame]

j'ai supprimé votre commentaire tout à fait hors sujet... Un copier/coller d'une chanson (sans rapport avec la fessee, ni les petites culottes) de C.Trenet dont vous ne citez même pas le nom de l'auteur, pire dans mon texte je dis ne pas apprécier les copier/coller..

[A.]

Aucun impair !!
Et puis ce n'est pas la mon-mienne-àmoi...
Et vous auriez pu la recevoir en quatre exemplaires...
Et cela aurait compliqué les mentions...

[Dame]

Histoire de femmes... rires.
Trop tard pour l'impair. C'était bien l'une de vous deux, pas Manon ma fournisseuse habituelle... Je vous présente toutes mes excuses princesse.

[A.]

C'était il y a longtemps, Ma Reine ! Vous êtes toute excusée