A vous,

Monsieur, Maître,

Brutalement,  vous en penserez ce que vous voulez,  je vous le dit sans ambages, je vous veux ! 

C’est violent et  inattendu !  Pas question de liens entre nous, de chaînes, de cordes, d’obscurité et de donjon, pas d’amour....

Sans prendre votre corps, sans vous toucher,  je vous regarderai.. J’ai envie monsieur, de lire dans vos yeux.. Vous voyez, je ne suis pas dangereuse.. Un jour j’ai dit à un homme que je préférais regarder son cul plutôt que ses yeux.. Les regards me fascinent. A quoi ressemble votre âme ?

De vous, je ne connais que les culs.. Ah, combien vous les faites beaux !  ils me parlent…  Gracieux, pleins, fermes, envahissants, époustouflants, étouffants,  à caresser, baiser, embrasser, mordre et fouetter.. Ah ces culs, Monsieur ! mais qu’avez-vous au bout du pinceau ? Il me plairait  aussi, connaître votre muse.. Qui est donc cette femme qui vous inspire ces seins monstrueux ?  Vos créatures sont bien plus ensorcelantes que celles de Fellini.. il en serait jaloux..  Vous mettez en scène, dans les seins,  monsieur,  le trop beau, le trop plein, le trop lourd, généreusement trop.. trop…..l’accessible,  inaccessible.. Il m’est arrivé d’avoir un malaise devant une œuvre d’art, parce que je me sentais impuissante, c’était trop beau..

C’est la féminité qui explose, et moi je suis dessous à en recueillir les morceaux.. Capricieuse, capricieuse.. je veux  caresser vos seins du bout des doigts.. et puis non, pas seulement je n’y arriverai pas, j’irais beaucoup plus loin.. Je les prendrais à pleine main, je jouerais avec,  les lècherais, les sucerais.. j’allongerais le téton jusqu’à le transformer en phallus pour mieux me branler mon enfant.... Epuisée par trop de plaisir, après avoir joui, qu’il serait doux d’enfouir ma tête sous, entre, ces énormes mamelles protectrices…. Je les veux, monsieur…

Dites vous, le magnifique… pourquoi toutes vos femmes arborent  le visage d’un ange ?   leurs traits fins et gracieux me séduisent, Leur bonté m’envoûte..  tout en elles n’est qu’érotisme, sensualité.. séduction.. Ca en devient indécent.. mais j’aime tant !

Je remercie bien sincèrement Sirius et "E",  qui m’ont permis de retrouver sur la toile ce peintre fabuleux..

Paul Lorenzi

Comments

[Saïda]

Oui, je te comprends Chris, c'est l'effet miroir.. sourire.

Moi aussi j'aime beaucoup l'abondance de tout.. Mais je ne suis pas opposée aux petits seins si la femme a un beau cul.. Les planches à pain aux yeux vides des podiums de mode, me laisse de marbre..

[Chris]

Etant fort pourvue côté seins, j'ai toujours été très attirées par les femmes qui me ressemblent physiquement. Je respecte ceux et celles qui aiment les petits seins, mais moi je prefère l'abondance, le voluptueux de la chair à pleines mains. Des hanches, des fesses et des seins, merveilleux coctail à déguster...Merci Dame pour cette succulente découverte.

Chris

[e.]

Nous lui transmettrons, mais nous lui demanderons également de vous faire des prix pour éviter une trop grande perte de poids !

Petit jeu-concours d'écriture chez nous, nous espérons votre participation !
Bonne chance !

M. et E.

[Saïda]

Arthur, c'est toujours un grand plaisir, un honneur de vous recevoir ici.. Et combien je suis heureuse de vous faire découvrir un nouveau mentor, alors que vous n'avez rien à lui envier dans vos créations de la femme aux formes généreuses.. "Vos" femmes sont plus gaies, elles s'animent.. Si Lorenzi est dans la fantasmagorie, vous êtes dans l'instant présent..



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Quand vous lui rendrez visite, "E", surtout dites lui combien je suis une inconditionnelle de ses oeuvres.. dites lui, que je ne vais plus manger pour m'offrir un de ses tableaux..

[arthur]

Merci chère dame ! Grâce à vous j'ai découvert un nouveau mentor !